COLLABORATION COLLECTIF X
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TEXTE
Agnès D'halluin
D'APRÈS UNE HISTOIRE ET
MIS EN SCÈNE PAR
Maud Lefebvre
AVEC
Arthur Fourcade
et Martin Sève
SCÉNOGRAPHIE
Maud Lefebvre,
Charles Boinot
et Stanislas Heller
CRÉA LUMIÈRE
Valentin Paul
CRÉA VIDÉO
Charles Boinot
et Clémént Fessy
CRÉA SON
Clément Fessy
et Maud Lefebvre
MACHINERIE
Stanislas Heller
PRODUCTION
Collectif X
COPROD
Théâtre Le Verso
DURÉE 1h20
espace pro
Il est question d’un amour fou et dévorateur. Il est question également d’une tentative désespérée d’échapper à la mort venue s’inviter sans crier gare dans l’histoire qui lie ces deux hommes s’aimant éperdument. La pièce juxtapose deux niveaux, l’un très réaliste et très concret, l’autre symbolique, comme deux mêmes facettes d’une relation amoureuse. Quand les spectateurs entrent en salle, ils se retrouvent immergés dans un intérieur. Les acteurs cuisinent, mangent, dorment et se lavent sur scène. Nous partageons le quotidien de leur intimité dans une grande promiscuité physique. Dans le désir, il existe on le sait, ce souhait irrépressible de s’approprier l’autre au point de se confondre presque avec lui. Ces deux-là qui se déchirent devant nous, resteront-ils toujours dans le registre de la métaphore ? Une création à la fois simple et profonde, dans laquelle s’entrecroisent avec légèreté et humour, les questions du deuil, de la fusion amoureuse et des limites de la volonté.
"D'une rare intensité, il est rare que le théâtre abolisse à ce point la frontière entre fiction et réalité "
"Un spectacle puissant, mais éminemment délicat et pudique, émouvant et juste, sobre et beau."
Un spectacle à montrer d'urgence ! "
"Cannibale est une pièce majeure dans ce que la jeune génération invente"
"Si l'on n'avait qu'un seul et tout petit conseil à donner au Collectif X, du haut de notre pseudo droit d'aîné si peu légitime à se faire péremptoire, ce serait de continuer encore longtemps à présenter ce "Cannibale" partout où c'est possible et surtout partout où des programmateurs de théâtre auraient la bonne idée de l'appréhender puis de l'inviter, de le reprendre et tenter non de le parfaire, mais d'encore davantage le risquer vers les chemins de traverse des fortes ambitions qu'il a déjà empruntés."